Peut-on fantasmer d’être violée après avoir subi une tentative de viol ? Oui, et ce n’est ni une trahison, ni une folie. Ce billet explore ce paradoxe intense, démonte la honte qui l’entoure et t’aide à comprendre si ce fantasme est un outil de réappropriation ou une répétition traumatique déguisée.
Jouir pendant un viol ne signifie pas l’avoir voulu. Ce billet démonte le mythe toxique “ton corps a aimé donc ce n’était pas un viol”, en explorant les mécanismes réflexes, la honte corporelle post-trauma, et la possibilité de se réconcilier un jour avec son plaisir, à ses conditions.
Après un trauma, la peur de “mal faire” l’amour peut devenir un piège silencieux. Ce billet démonte les injonctions de performance, explore les mécanismes de honte et t’aide à retrouver un rapport au sexe où le lien prime sur le résultat. Le plaisir ne se prouve pas : il se ressent, à ton rythme.
Des années après un viol, le désir de soumission peut surgir. Pas comme une fuite, mais comme une reconquête. Cet article explore pourquoi ce besoin peut naître, comment l’approcher sans danger, et à quelles conditions la soumission devient un outil de guérison — et non une rechute maquillée.
Rejouer une agression sexuelle dans un cadre érotique peut libérer… ou détruire. Cet article explore le fantasme du viol consenti (rape play) : quand il devient outil de réappropriation, et quand il cache une blessure qui saigne encore. Un guide cash et sensible pour différencier le jeu de la rechute.
Aimer une personne victime de viol, c’est apprendre à être là sans envahir, à désapprendre le sexe tel qu’on l’a connu, et à écouter autrement. Ce guide t’aide à devenir un partenaire solide, doux, respectueux — sans te perdre dans le rôle du sauveur. Tu n’as pas à réparer, juste à aimer juste.
Après un viol, le sexe devient un champ miné. Cet article t’aide à retrouver, à ton rythme, le goût du désir, des mots, et du plaisir. Sans pression. Sans honte. Juste toi, ton corps, tes règles. Reprendre la main sur ton érotisme, c’est possible — et ça commence ici.
Le BDSM n’est pas qu’une réponse aux traumatismes, mais peut offrir une libération émotionnelle et une réappropriation du corps. Pour certains, c’est une exploration identitaire intense, pour d’autres, une simple quête de plaisir. Ce n’est pas une thérapie en soi, mais il peut avoir des effets thérapeutiques selon l’approche adoptée.
Viol et sexualité : le combat invisible. Perte de confiance, culpabilité, blocages… Quand le traumatisme s’invite sous les draps, comment se reconstruire sans se perdre ? Comprendre l’impact, briser le silence et, peut-être, réapprendre à désirer. Un chemin long, mais pas impossible.