Anne à quatre pattes : descente sous la pluie

sexislife 158

Anne s’offre nue, collier au cou, cul bien haut. À quatre pattes, elle bouffe les couilles de son Maître, supplie d’être humiliée. La pluie, la laisse, la rue : chaque image la brûle, chaque ordre la fait descendre. Elle n’a plus peur, elle sourit, prête à tout pour jouir de sa honte et offrir sa…

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Chapitre 1 — La présentation

Anne s’avance dans le salon. Le parquet résonne sous ses talons hauts, chaque pas accentue la tension dans son ventre noué. Elle respire fort, ses bas de dentelle fine caressent ses cuisses, son collier brille doucement sous la lumière tamisée. Nue, offerte, la chatte encore rasée de frais, elle s’arrête face au canapé.

Son Maître est là, installé, t-shirt simple, pantalon treillis, pieds nus posés bien à plat sur le sol. Son regard est calme, pesant, celui qui la traverse comme une lame. Anne s’incline légèrement, la voix douce mais assurée :

— Bonsoir, Maître. Je suis là… pour vous servir.

Un silence s’installe. Il la fixe, un coin de lèvres relevé.

— Tu te présentes nue, avec seulement tes bas, tes talons et ton collier. Tu sais ce que ça veut dire, chienne ?

Anne soutient son regard, malgré la douleur qui serre son ventre. Elle sent sa gorge brûler, mais son sourire éclaire ses yeux :

— Oui, Maître. Ça veut dire que je n’ai plus rien à cacher. Que je suis à vous. À vos désirs.

Il se redresse légèrement, son torse projeté en avant, comme pour la toiser mieux.

— Et si mes désirs sont de t’écraser, de te réduire à un rien ? Si je décide que tu n’es qu’un trou, une salope à salir ?

Un frisson la traverse, ses tétons raides trahissent sa peur autant que son excitation. Elle baisse brièvement les yeux puis les relève, docile :

— Alors je serai ce trou, Maître. Je le veux. J’ai honte de l’avouer… mais j’en rêve.

Un éclat brille dans son regard. Lui se lève lentement, ses pieds nus claquant contre le sol, son ombre s’étendant sur elle.

— Tu oses dire que tu es prête à tout ? Absolument tout ?

Anne hoche la tête, un souffle court, ses cuisses s’entrouvrent comme malgré elle :

— Oui, Maître. Absolument tout. Je veux être utilisée. Je veux que vous preniez votre plaisir. Je veux vous prouver ma dévotion.

Il s’approche, se penche au-dessus d’elle, sa voix basse résonne comme un couperet :

— Alors regarde-moi, chienne. À partir de maintenant, chaque ordre sera une descente de plus. Et il n’y aura pas de retour.

Anne lève les yeux, un sourire timide au coin des lèvres, le cœur battant à rompre sa poitrine. Elle souffle, tremblante et fière à la fois :

— Oui, Maître… Je suis prête.

Chapitre 2 — Habileté et dévotion

Le Maître se lève sans un mot. Anne le suit du regard, haletante. Il traverse lentement la pièce et s’installe sur le bord du fauteuil. Ses doigts agrippent la ceinture, il fait glisser le treillis et le caleçon en un seul mouvement. Sa queue se dresse, lourde, raide, ses couilles pendantes s’offrant au regard de sa soumise.

Il se cale bien, jambes écartées, l’air d’un roi qui s’apprête à être servi. Son regard tombe sur Anne, tranchant.

— À quatre pattes, cul bien en l’air. Viens me lécher les couilles. Les embrasser. Les avaler. Mais interdiction de toucher à ma queue. Compris, salope ?

Anne sourit, un sourire trouble, de fierté et d’excitation. Enfin, son Maître lui offre ce qu’elle aime tant : ses couilles. Elle se met à quatre pattes, le parquet froid sous ses genoux, son cul relevé, sa chatte brillante offerte à la pièce vide.

— Oui, Maître.

Elle rampe jusqu’à lui, docile. Ses lèvres trouvent la peau chaude de ses couilles. Elle les embrasse d’abord, avec lenteur, avec respect. Ses mains posées au sol, elle se concentre sur sa tâche. Sa langue glisse, les goûte, les suce, les aspire. Ses joues creuses avalent une boule, puis l’autre, sa bouche pleine de son odeur. Elle gémit en silence, avalant, relâchant, reprenant avec une gourmandise appliquée.

Le Maître grogne de satisfaction, sa main lourde posée sur la nuque d’Anne.

— Tu aimes ça, hein ? Lécher mes couilles comme une bonne petite chienne.

Elle relève à peine le menton, ses lèvres encore humides :
— Oui, Maître… J’adore.

Il resserre sa prise sur ses cheveux, son ton se fait plus bas :
— Et dis-moi, Anne… tu es vraiment prête à tout pour me satisfaire ?

Sa bouche embrasse de nouveau sa peau tendre, mais sa voix ne tremble pas :
— Oui, Maître. À tout.

— Vraiment tout ? Même ce qui va t’écraser, te salir, t’humilier ?

— Oui. Parce que c’est ma place. Parce que je veux être salie par vous.

Il ricane, ses doigts tirant ses cheveux pour la forcer à lever les yeux vers lui.
— Même si je décidais de te sortir nue dans la rue, là, ce soir ? À quatre pattes, la pluie qui trempe ton gros cul, tes bas, ton collier ? Te faire branler sur le sol humide, comme une pute de trottoir, pendant que je te regarde ?

Anne gémit, ses lèvres encore rouges de bave, son regard brillant d’une fièvre étrange :
— Oui, Maître… surtout cela.

Il arque un sourcil, amusé.
— Pourquoi, chienne ?

— Parce que c’est humiliant. Parce que c’est dégradant. Parce que rien que l’idée… ça m’excite, ça me brûle. Et si en plus on me voyait… ce serait encore pire, encore plus sale… et je le veux.

Sa main serre sa nuque, ses couilles luisent encore de salive. Il la regarde longuement, satisfait, cruel.
— Alors tu es vraiment une salope. Et tu vas descendre encore.

Chapitre 3 — La pluie et la laisse

La main du Maître se resserre sur la chevelure d’Anne, tandis que les lèvres de celle-ci continuent à envelopper ses couilles, à les avaler, à les adorer. Sa langue glisse, chaude et docile, mais dans le même temps la voix grave de son Maitre s’insinue dans son esprit, semant des images qu’elle ne peut ignorer.

— Imagine, chienne… Je prends ta laisse. Oui, celle qui pend déjà au collier que tu portes. Je l’accroche, je tire doucement. Toi, tu baisses la tête, tu sais ce que ça veut dire : obéir. Je t’emmène vers la porte. Tu trembles déjà, je le sens, mais tu avances. Docile. Tes mains derrière le dos, sage, comme une chienne qui accepte son sort.

Anne gémit, la bouche pleine, ses yeux brillants levés vers lui. Elle aspire encore plus fort, comme si chaque mot l’excitait au-delà de tout.

— La porte s’ouvre. L’air froid te frappe. Une pluie fine, glaciale, tombe sur ta peau nue. Tes bas se mouillent, ton gros cul frissonne, tes tétons pointent. Tu sors… nue, offerte, dans la rue sombre. Tu sens tes pieds glisser un peu sur le sol humide, mais tu avances. La laisse tendue, mes ordres qui claquent.

Anne mordille la peau de ses couilles, les embrasse comme des offrandes, ses mains crispées contre le sol. Son esprit avale ces images autant que sa bouche avale la chair tendre.

— Agenouille-toi là, dis-je. Et tu obéis. Le bitume mouille tes genoux, la pluie dégouline sur ton dos, tes cheveux collent à ton visage. Tu es honteuse, craintive, mais je lis ton excitation. Ta chatte coule déjà. Et moi, je t’ordonne de te branler, là, dehors, sur le sol. Comme une pute sans dignité.

Anne gémit encore, ses lèvres se refermant avec plus de ferveur sur ses boules. Les images brûlent dans sa tête. Sa honte devient ivresse.

Elle pense à toutes ces années de peur. À ces fois où elle a reculé, où elle a laissé son ventre serré la dominer, où elle a fui. Elle se sent coupable, de s’être retenue, d’avoir résisté. Coupable d’avoir laissé sa peur gouverner son désir.

Et là, entre ses lèvres, la vérité : elle veut descendre. Aussi bas qu’elle le peut. Plus bas encore. Elle veut être ce chien sous la pluie, cette chienne à quatre pattes dans la rue. Elle veut que son Maître la voie s’humilier, la voie se perdre et se pervertir pour lui.

Son cœur bat à rompre. Elle se sent prête à tout. Pour lui. Pour le remercier. Pour cette patience infinie qu’il a eue à l’éduquer, à la briser pas à pas. Pour toutes les fois où il est venu la chercher alors qu’elle fuyait. Pour tout ce temps où il n’a pas lâché sa main, même quand elle se dérobait.

Sa bouche s’active avec encore plus de fièvre. Chaque succion, chaque léchouille devient un cri silencieux de gratitude, de dévotion. Elle aspire ses couilles comme si elle voulait avaler son autorité, son pouvoir, sa présence.

Dans sa tête, elle se voit déjà : nue sous la pluie, le visage trempé, les genoux au sol, la laisse tendue, branlant sa chatte sous son ordre. Honteuse, terrifiée, excitée au-delà du supportable. Et dans ce mélange de peur et de jouissance, elle trouve enfin sa vérité : elle n’est rien d’autre que la chienne de son Maître, et c’est ainsi qu’elle veut vivre.

Anne est à quatre pattes, son gros cul levé bien haut, offert sans retenue. Sa bouche est pleine, gourmande, sa langue glisse sur les boules tendres, ses lèvres les aspirent, ses joues se creusent. Elle se gave de son odeur, de son goût, comme une chienne affamée.

Le Maître s’adosse au fauteuil, ses jambes écartées. Sa main appuie par moments sur la nuque d’Anne, l’enfonce contre ses couilles. Sa voix descend, grave, lente, presque moqueuse :

— Tu remues déjà du cul comme une vraie salope. Dis-le-moi… tu es excitée ?

Anne gémit, un souffle humide lui échappe entre deux succions. Elle relève à peine la tête, ses lèvres encore gonflées :

— Oui, Maître… Je suis excitée… Tout me plaît. Tout m’attire. J’ai une folle envie… que vous me donniez l’ordre.

Ses yeux brillent, suppliants. Elle se dandine, sa chatte trempée coulant sur ses cuisses, incapable de cacher la fièvre qui la traverse.

Le Maître ricane, cruel :
— Tu oublies que tu as mal au ventre. Tu crois pouvoir tout supporter, chienne ? Tu crois pouvoir sourire, nue, sous la pluie, la laisse au cou, même avec la douleur ?

Anne le fixe droit dans les yeux. Ses pommettes rougies, ses prunelles pétillent d’un éclat troublant, entre défi et soumission. Sa voix est ferme, malgré sa bouche encore pleine de salive :

— Je m’en fous, Maître. Je suis là pour vous. Pour mon Maître.

Il arque un sourcil, intrigué, son sourire s’élargit.
— Tu me défies, ma pute ?

Elle s’empresse, retourne sa bouche sur ses boules, les engloutit, les lèche avec frénésie. La bave coule, file sur son menton, mouille ses seins écrasés contre le sol. Elle s’en fout. Elle s’y plonge comme une damnée, bavant de plaisir.

— Je veux vous faire jouir, Maître… Je n’ai plus peur. Je veux être votre salope.

Elle s’enfonce plus fort, ses lèvres claquent, ses joues brûlent. Elle avale, relâche, reprend, ses mains toujours bien posées au sol, son cul qui remue en cadence, comme pour montrer qu’elle est prête à tout recevoir.

Le Maître l’observe, satisfait. Sa chienne baveuse, les yeux brillants, en train de lui bouffer les couilles comme si c’était son dernier souffle.

— Tu descends bien, Anne… très bien…

Et Anne, le visage ruisselant, sourit contre sa peau, heureuse d’être là, heureuse d’avoir trouvé enfin sa place.

Chapitre 4 — La descente d’Anne

Anne est à quatre pattes. Son gros cul levé, offert, tremblant d’excitation. Le parquet mord ses genoux, mais elle ne sent que la chaleur des couilles de son Maître contre sa bouche. Elle les lèche, les embrasse, les aspire, bave et s’engloutit sans retenue. Sa langue se fait soumise, sa salive devient offrande. Chaque succion est un aveu, chaque gémissement un serment : elle n’existe que pour lui.

Et pendant qu’elle s’applique à lui bouffer les couilles, les images qu’il lui a soufflées prennent corps dans sa tête. Elles ne la quittent plus.

Elle se voit dehors, nue, les bas collés à ses cuisses par la pluie, la dentelle détrempée dessinant sur sa peau des arabesques obscènes. Sa chatte brille d’eau et de foutre imaginaire, ses seins lourds, ses tétons durs, pointés vers le vide. Le collier serre sa gorge, la laisse tire vers l’avant. Elle obéit. Elle avance. Ses mains derrière le dos, comme une prisonnière docile. Ses genoux s’écrasent dans le bitume humide, chaque mouvement lui arrache un frisson.

La honte est là, collée à sa peau comme la pluie froide. Mais cette honte, loin de l’éteindre, l’attise. Elle se dandine devant son Maître, même ici, même maintenant, à l’intérieur, la bouche pleine de ses couilles. Son corps trahit son esprit. Sa chatte dégouline, son cul ondule. Elle est incapable de cacher l’excitation brutale qui la traverse.

Son regard se lève vers lui, un éclat nouveau dans les yeux. Pas seulement de la peur. Pas seulement de la honte. Mais une jubilation trouble, un défi qui ne demande qu’à être brisé.

— Oui, Maître, murmure-t-elle en reprenant son souffle. Tout me plaît. Tout m’attire. Même ça… surtout ça.

Alors elle replonge, plus gourmande, plus frénétique. Elle engloutit ses boules, les mâchonne de sa langue, les baise de ses lèvres. Elle s’y attache comme une ivrogne à sa bouteille, comme une chienne à son os. Sa bave coule, goutte sur son menton, se perd entre ses seins. Elle n’en a plus rien à foutre.

Car dans sa tête, elle entend encore sa voix à lui : “Tu crois que tu tiendrais, chienne ? La douleur au ventre, la pluie glaciale, les passants qui te voient branler ta chatte nue au sol ?”
Et chaque mot la pousse plus bas, chaque image la ravage, la pervertit, la consume.

Anne se souvient de toutes ces années où elle a reculé. Où la peur l’a tenue enfermée. Où elle a laissé son ventre se contracter, sa gorge se nouer, pour ne rien dire, ne rien vivre. Elle s’en veut. Elle culpabilise de s’être retenue si longtemps. D’avoir laissé la peur gouverner son corps. Elle a envie de crier qu’elle a eu tort, qu’elle a gâché du temps, gâché sa vie de chienne.

Alors elle s’applique. Elle se jette sur les couilles de son Maître comme pour effacer ses fautes. Elle les lave de sa langue, les sanctifie de ses lèvres, les célèbre dans sa gorge. Elle bave de plaisir, et dans ce désordre mouillé elle se sent enfin pure.

Dans son regard qui pétille, il n’y a plus de doute. Elle veut descendre. Aussi loin qu’elle le peut. Plus loin encore. Elle veut être nue dans la rue, la pluie sur son dos, les genoux éclatés par le bitume, sa chatte offerte à l’humiliation. Elle veut se pervertir pour lui, s’écraser pour lui, s’anéantir dans sa honte pour que son Maître jouisse de sa chute.

Parce que derrière cette descente, il y a un remerciement. Elle le sait, même si elle ne le dit pas. Chaque coup de langue, chaque succion, c’est un merci pour sa patience. Pour l’avoir tenue quand elle fuyait. Pour être venu la chercher alors qu’elle se perdait dans sa glace, son silence, ses crises. Pour avoir vu en elle la chienne qu’elle refusait encore d’admettre.

Anne le fixe droit dans les yeux. Sa bouche encore pleine, son visage trempé de bave, son cul ondulant de désir. Elle veut lui montrer, par son regard, par son sourire, qu’elle n’a plus peur. Qu’elle veut le faire jouir, qu’elle veut s’engloutir en lui, disparaître dans son plaisir.

Et quand elle replonge une fois de plus sur ses couilles, avec la fièvre d’une affamée, la bave qui coule en filet brillant sur sa poitrine, elle n’a plus qu’une pensée, simple, nue, irrévocable : “Je suis sa chienne. Sa pute. Et plus je descends, plus je deviens vivante.”

Chapitre 5 — Gueule de chienne

Anne est toujours à quatre pattes. Sa position ne change pas, elle sait qu’elle doit rester comme ça : cul bien haut, cambré, offert, énorme, insolent et magnifique dans la lumière. Son gros cul respire la soumission et la provocation. Elle le sent, elle sait qu’il le regarde. Et elle aime ça. Elle aime se savoir jaugée, détaillée, possédée déjà par le regard silencieux de son Maître.

Quand l’ordre tombe, sa voix à lui claque comme un couperet :

— Bouffe ma queue.

Anne n’hésite pas. Elle se rue dessus, la gueule grande ouverte. Sans les mains. Parce qu’elle sait que c’est ainsi qu’il aime. Qu’il veut sentir sa gueule de salope glisser le long de sa bite, sans rien pour la guider, sinon son envie. Ses lèvres s’ouvrent, sa bouche se tend, et elle l’avale d’un coup, gourmande, vorace, docile.

La queue glisse, raide et luisante, jusqu’au fond de sa gorge. Elle se cambre davantage, elle ouvre plus, elle serre ses lèvres, elle engloutit. Le bâton de chair disparaît en elle, profond, précieux, tenu comme un trésor. Plus la bite s’enfonce, plus elle descend en elle-même, dans sa honte, dans sa perversion.

Son ventre brûle. Sa respiration se fait hachée, mais elle garde la queue au fond, jusqu’à ce que ses yeux pleurent, jusqu’à sentir son être tout entier aspiré dans ce geste obscène. Elle ne recule pas. Elle ne tousse pas. Elle garde. Elle garde parce que c’est sa place. Parce que c’est là qu’elle veut être.

Et puis, elle retire lentement le chibre, la salive coule déjà en longs fils brillants, de sa bouche au gland. Elle relève les yeux, son sourire trempé, son regard pétillant. Elle prend le temps de respirer, d’afficher ce mélange d’orgueil et d’abandon.

— Je suis prête à tout, Maître.

Sa voix est taquine, douce, provocante. Ses lèvres s’arrondissent, s’ouvrent encore, et elle replonge aussitôt. La queue disparaît de nouveau dans sa gorge. Elle s’y noie, elle s’y perd, et ça l’excite plus que jamais.

Le Maître ne dit rien. Il la regarde. Ses yeux fixent cette gueule de chienne offerte, ses lèvres rouges, sa bave qui dégouline, son cul qui tremble en cadence. Anne le sait, elle le sent. Et ce silence vaut toutes les paroles.

Elle retire encore, joueuse. Elle laisse le gland claque contre ses lèvres, ouvre la bouche comme pour mieux l’exhiber. Sa langue sort, le caresse, le goûte, avant de l’engloutir de nouveau.

— Prête à absolument tout, mon Maître…

Un nouveau sourire. Insolent et tendre à la fois. Un sourire de salope reconnaissante. Elle le fixe, yeux grands ouverts, et replonge sa gorge. La queue glisse, humide, enfoncée jusqu’au bout. Son cul se dandine, ses seins se balancent. Elle s’applique, elle pompe, elle suce, mais chaque retrait devient provocation.

Elle sait ce qu’elle fait. Elle le provoque, mais pas avec orgueil. Avec soumission. Avec fierté de lui appartenir. Son sourire est celui d’une esclave heureuse de se livrer, de se faire avaloir, de se réduire à une gueule ouverte.

Chaque fois qu’elle ressort la bite de sa bouche, elle laisse la salive dégouliner, ses lèvres briller, ses yeux s’accrocher aux siens. Et elle répète, doucement, dans un souffle chaud :

— Tout, Maître… absolument tout…

Puis elle replonge, gloutonne, avalant jusqu’au fond. Sa gorge se dilate, ses yeux brillent. Elle garde, elle aspire, elle descend. Et son cul se balance encore, offert, fiévreux, comme s’il voulait dire : regarde, Maître, je suis à toi, entièrement, dans ma bouche comme dans mon cul.

Anne joue de cette cadence : avaler, ressortir, sourire, replonger. Elle rythme sa dévotion comme une musique. Et lui, silencieux, la contemple. Elle sait qu’il entend ses gargouillis, ses gémissements étouffés, ses respirations brisées. Elle sait qu’il voit ses yeux rougis, son mascara qui coule, son visage trempé de bave. Elle sait qu’il jouit déjà de la voir descendre, de la voir se salir pour lui.

Et elle, au fond, jouit aussi. Jouit de ce silence pesant, jouit de ce regard qui la fixe, jouit de cette attente où il ne dit rien, parce que ça la rend folle. Plus il se tait, plus elle s’applique. Plus elle s’applique, plus elle descend.

Elle le provoque avec ses yeux, avec ses sourires, mais c’est une provocation qui appelle la chute, la punition, l’humiliation. Elle sait qu’il viendra. Elle sait qu’il parlera. Mais pour l’instant, elle savoure ce jeu de gorge et de silence.

Et dans ce silence, Anne comprend une chose : sa descente est déjà scellée. Elle ne reviendra pas en arrière. Elle a trouvé sa place, cul en l’air, la bouche pleine, le regard brûlant, prête à tout, absolument tout, pour son Maître.

Chapitre 6 — La porte s’ouvre

Le Maître se lève. Son ombre se dresse devant Anne, massive, tranquille, implacable.

— Ne bouge pas.

Anne obéit aussitôt. Elle abaisse sa gueule au sol, colle son front au parquet glacé. Ses mains s’écartent, dociles, inutiles. Son cul monte haut, offert, insolent, cambré jusqu’à l’excès. Ses cuisses s’écartent largement, sa chatte brillante respire l’air de la pièce. Elle ferme les yeux. Et elle attend. En paix. En feu.

Elle entend les gestes de son Maître, derrière elle. Le froissement du pantalon qu’il remonte. Le claquement sec de la ceinture. Le cuir des chaussures qu’il enfile lentement. Chaque son devient une promesse. Puis des pas. Il s’éloigne. Elle devine, elle sait : il va chercher la laisse. Son ventre se tord, son cœur cogne, sa chatte brûle. Elle sent la pluie, déjà, dans son esprit.

Il revient. Ses doigts brutaux plongent dans ses cheveux, tirent, la redressent. Sa nuque plie, son souffle se coupe, mais elle aime cette douleur-là. Il accroche la laisse au collier, d’un geste sec. Puis, à sa surprise, il se penche. Et ses lèvres se posent sur les siennes. Un baiser long, profond, presque tendre, qui la fait chavirer.

Elle sourit, les yeux brillants, la bave encore au coin des lèvres. Sa voix tremble, mais de joie :
— Prête à tout, Maître… absolument tout. Je vous en supplie… humiliez-moi. Ne vous retenez pas. Aidez-moi à descendre.

Il ne dit pas un mot. Son silence est plus fort qu’un ordre. Il se redresse, tire sur la laisse.

— Non. Toi, à quatre pattes.

Anne sourit encore, plus large, comme une folle heureuse. Ses mains reprennent appui au sol, son cul se hisse, et elle le suit, à quatre pattes, docile, fière, tremblante.

Le salon s’éloigne. Le vestibule approche. Chaque pas est un battement de cœur. Elle entend son souffle, son odeur, la laisse qui claque doucement. Elle sait. Elle sait où elle va. Elle ne sait pas exactement ce qui l’attend, mais elle sait qu’elle y va pour lui. Et ça suffit.

La porte d’entrée. Elle lève un instant les yeux vers lui. Un seul regard. Son Maître. Sa vie. Elle sourit, humble, excitée, terrifiée.

La poignée tourne. La porte s’ouvre. L’air de la nuit entre comme une gifle. Froid. Pluie fine. Odeur de bitume trempé. Elle se redresse d’elle-même, d’un geste fluide. Ses épaules nues, ses seins lourds, son gros cul cambré : elle sort la première.

Le choc. Le froid sur sa peau. La pluie qui tombe, aiguilles glacées sur ses cuisses, son dos, ses tétons. Elle est nue. Dehors. À découvert.

Un badaud passe, tête baissée, pas pressé, sans un mot. La pluie coule sur son visage, il ne regarde pas. Ou fait semblant de ne pas voir. Anne tremble, de honte, de peur, mais surtout d’excitation.

Chaque goutte qui la frappe devient un coup de fouet. Sa nudité est une clameur dans la nuit. La peur la tord, mais son plaisir monte plus fort encore. Elle brûle de jouir. Elle brûle de se donner en spectacle, d’être rabaissée à l’état de chienne nue sous la pluie.

Et plus que tout, ce qui l’électrise, ce qui la rend folle, c’est l’idée de faire jouir son Maître. De lui offrir cette descente comme un cadeau. Son humiliation comme preuve d’amour. Sa honte comme offrande.

Anne sourit. Elle n’a jamais été aussi nue. Ni aussi vivante.

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